René Lévesque, rebelle patriote internationaliste, 104 mn, Documentaire HD, Réalisation Z Fall
Né en 1939, René Lévesque est décédé le 29 Décembre 2015 des suites d’un AVC et d’un emphysème. Ce film retrace des pans de sa courageuse vie militante ainsi que ses obsèques. René Lévesque se considérait franc Canadien et internationaliste. Il vouait une grande admiration aux autochtones, aux rebelles patriotes de 1837 du Haut et du Bas Canada, mais aussi à ceux d’Haïti, d’Amérique latine, de Palestine et surtout d’Afrique.
Autodidacte il apprit la langue d’Haïti, s’initia aux sciences sociales et naturelles, résista contre l’establishment canadien, combattit la xénophobie et l’intolérance, fut partisan d’une réécriture de l’histoire du Bas-Canada et fit la promotion de la nature et d’une agriculture écologique.
Le film esquisse une version internationaliste de l’histoire du Québec et donne la parole à divers partisans de la souveraineté comme Vivianne Michel, Bernard Landry, Françoise David, Gilles Laporte, Martine Desjardins… et à une dizaine de ses camarades qui l’ont connu. Sa lutte continue…
L’objectif de ce document est une contribution subjective au suivi de la déclaration AFRICOM go home, signée par une cinquantaine de personnalités et d’organisations africaines et allemandes qui s’opposent à la présence de l’AFRICOM en Allemagne comme en Afrique. Ce document audiovisuel est articulé sur des images du WEB dont les auteurs ne portent aucune responsabilité dans le traitement du film.
Le document audiovisuel est bâti sur les enjeux fondamentaux suivants : Le suivi de la déclaration Africom Go home et le bien fondé de cette déclaration L’histoire et l’évolution de la présence militaire impérialiste et néo coloniale en Afrique sur les 50 ans L’avènement de l’AFRICOM, son décryptage et celui des rivalités et visées impérialistes sur le continent, mais aussi leur surveillance réciproque et leurs contradictions dans la lutte contre le terrorisme. La dénonciation de l’ extension rampante et faussement humanitaire de l’AFRICOM en Afrique et sa position en Allemagne ainsi que dans toute une série de bases. Les contradictions des africains et leurs organisations à se défendre contre les conflits liés au pillage des ressources et l’accès au territoire La nécessité de la résistance panafricaine et internationaliste et la repolitisation démocratique de notre jeunesse Le film suit la visite du président Obama en Allemagne et en Afrique, traque les positions de divers présidents européens, américains, africains et chefs militaires de l’AFRICOM, comme ceux et celles qui s’opposent à elle. Il fait le bilan de la politique sécuritaire du continent et s’attarde sur l’influence des néo-conservateurs américains et la poursuite actuelle de certaines de leurs politiques, y compris à travers des puissances régionales. Il explicite les agissements de l’impérialisme et du néocolonialisme, et les processus de cooptation de nos élites, de nos dispositifs militaires comme de nos sociétés civiles. Illustration de bavures graves auxquelles on s’expose lorsque ces bases s’installent. La responsabilité de nos élites est engagée autant que celle de leurs commanditaires. Recension de toutes les bases existantes qui ceinturent ou infiltrent le continent africain, la position de l’OTAN, la vulnérabilité et la mise en tutelle de l’Union africaine, et la montée des convoitises surgissant de la présence de pays émergents, comme les BRICS.
Le film creuse l’hypothèse de l’enjeu de la rétrocession de l’or de l’Allemagne détenue aux Etats Unis, en France et en Angleterre, et la prééminence de la Chine dans l’enjeu monétaire, comme un des éléments d’explication du fait accompli de l’établissement de la base militaire en Allemagne, mais aussi une des causes de la crise au Mali.
Le film divulgue au monde l’existence de la base de l’AFRICOM en Allemagne. Il apporte surtout un éclairage sur les efforts courageux de citoyens et de parlementaires du parti Linke, rend hommage à la plainte en justice qu’ils ont déposée contre les frappes par drones et assassinats ciblés de l’AFRICOM. Au delà de l’enjeu sécuritaire, le film montre comment la crise du capitalisme, et le sous-développement sont un terreau fertile pour le culturalisme, l’intégrisme, le populisme et le terrorisme qui deviennent alors autant de leviers capables de diviser le continent et freiner sa souveraineté. Les formules censées assurer la sécurité africaine sont concoctées par l’AFRICOM et l’OTAN.
Le film est un plaidoyer pour un développement autocentré plus équilibré,la redécouverte de la marge progressiste de l’État et l’accélération de l’intégration panafricaine dans une perspective internationaliste et pour un monde polycentrique défendant le «bien » commun de l’humanité.
This documentary represents my views, and my views alone, on geopolitical challenges to both Africa and the wider world. The contents of this film can in no way be ascribed to GRILA or any of its members. It addresses Africa’s leaders, all PanAfricanists, internationalist and especially the African Youth caught up in the maelstrom of Africa’s place in the world. AFRICOM GO HOME illuminates a vision of freedom that comes down from the mothers and fathers of panAfricanism.
This documentary takes a personal look at how events have evolved in the wake of the signing of the declaration « AFRICOM Go Home » by fifty or so organizations from Africa and Germany that are united in their opposition to the presence of AFRICOM on either African or German soil. The film is a combination of images filmed or taken off the WEB . However, the authors of those images are in no way responsible for the production or point of view of this film.
This video helps us to understand events arising out of the « AFRICOM Go Home » Declaration and what has been achieved since then. It shines a spotlight on the history and evolution of imperialistic, neocolonial military forces within Africa over the last fifty years. It unpacks AFRICOM and how it came into existence, what it means and provides a way of interpreting imperialist rivalries and ambitions on the continent, including why they spy on each other and exposing the contradictions that have surfaced in the « fight against terrorism ». It articulates disbelief in claims of humanitarian goals by those who established AFRICOM for Africa after building a whole network of bases stretching as far as Germany. It explores contradictions that also arise between Africans and within African organizations as they try to defend themselves within a context of conflicts tied to the pillage of their resources and the appropriation of their ancestral lands. It examines the urgent need for panAfrican and internationalist resistance as well as the re-politicization of our Youth for future democracy.
The film follows President Obama when he visits Germany and Africa, highlighting the attitudes of various European, American and African presidents as well as AFRICOM’s military chiefs. There is also footage on some of the men and women who make up the opposition. It takes stock of security policies on the continent, paying special attention to the influence of American neoconservatives and how regional power blocs are already putting some of their policies into practice. AFRICOM GO HOME exposes the machinations of both imperialism and neo-colonialism and shows how they operate to coopt our elites and military leaders as well as civil society organizations. It paints a picture of the damage to which Africans are exposed when these bases take up residence in their midst. Clearly, our local elites are no less responsible than their foreign bosses for has evolved. The film urges all parties to review of those bases already cached on the African continent or encircling it as well as NATO’s position, the vulnerability and tutelage of the African Union and the presence of a ravenous pack of emerging nations under the rubric of BRIC.
By way of explanation, this video mounts a hypothesis that takes note of the repatriation of Germany’s gold which had long been held captive by the US, France and the UK; the now dominant position of China in the global monetary system as well as the reasons why the base was launched so precipitously in Germany. It then goes on to provide reasons for the crisis unfolding in Mali.
This film unveils the AFRICOM base in Germany before the eyes of the world. In doing so, it also draws special attention to the heroic efforts of members of the public and parliamentary representatives belonging to the Linke Party and acknowledges their court action against AFRICOM’s drone strikes and targeted killings. Beyond the security question, this video demonstrates that the crisis in capitalism as well as endemic under-development are fertile ground for culturalism, integrationism, populism and terrorism which are tools that can both create divisions across the continent and abort sovereignty. AFRICOM and NATO have concocted formulas that they claim will protect Africa.
However, this film is an appeal for more self-determination and balance in Africa’s development. It calls for the reemergence of progressive wings of African states as well as a plan for accelerating panAfrican integration within the context of internationalism and a polycentric world that upholds all of humanity’s common « good ».
Dieser Dokumentarfilm zeigt aus einer persönlichen Sicht die Entwicklung der Ereignisse, nachdem ungefähr fünfzig Organisationen aus Afrika und Deutschland, die gegen die Existenz von AFRICOM auf afrikanischem oder deutschem Boden sind, die Erklärung von « AFRICOM Go Home » unterzeichnet haben. Der Film besteht aus einer Kollage von Bildern aus dem Internet und Ausschnitten anderer Filmemacher. Dennoch sind die Autoren dieser Bilder auf keine Weise verantwortlich für die Inhalte dieser Produktion, oder die darin vertretenen Ansichten.
Dieses Video wurde gemacht, um – die Ereignisse um die „AFRICOM Go Home »-Erklärung verständlich zu machen und aufzuzeigen, was bisher erreicht wurde. – Es wirft ein Licht auf Geschichte und Entwicklung imperialistischer, neokolonialer militärischer Kräfte in Afrika im Verlauf der letzten fünfzig Jahre. – Es entschleiert AFRICOM und seine Entstehung und erklärt seine Bedeutung, und hilft zudem, imperialistische Rivalitäten und Ambitionen zu interpretieren. Es wird sowohl erklärt, warum sie einander ausspionieren, als auch die Widersprüche enthüllt, die im « Krieg gegen Terrorismus » aufgekommen sind. – Es formuliert die Unglaubwürdigkeit der erklärten angeblichen humanitären Ziele derer, die AFRICOM für Afrika etabliert haben, nachdem sie ein ganzes Netzwerk an Militärbasen aufgebaut haben, die sogar bis Deutschland reichen. – Zudem untersucht es Widersprüche, die unter Afrikanern und innerhalb von afrikanischen Organisationen aufgekommen sind im Rahmen von Konflikten bezüglich der Selbstverteidigung bei der Ausbeutung von Ressourcen und der Beschlagnahmung des Landes ihrer Vorväter – Es zeigt die dringende Notwendigkeit pan-afrikanischen und internationalen Widerstandes sowie die re-Politisierung unserer Jugend für die zukünftige Demokratie. – Der Film folgt Präsident Obama auf seinem Besuch Deutschlands und Afrikas, zeigt die Haltungen europäischer, amerikanischer und afrikanischer Präsidenten sowie der Militärführer AFRICOMs. Außerdem gibt es Material über einige Männer und Frauen der Opposition. – Es nimmt Inventur von den Ausprägungen der Sicherheitspolitik auf dem Kontinent mit besonderer Aufmerksamkeit auf den Einfluss der amerikanischen Neokonservativen und zeigt, wie regionale Machtblöcke bereits einige ihrer politischen Ansätze in die Praxis umsetzen. – AFRICOM GO HOME stellt die Machenschaften des Imperialismus und des Neokolonialismus bloß und zeigt die Vereinnahmung unserer Eliten und Militärführer sowie unserer Zivilgesellschaft und Organisationen. Es zeichnet ein Bild davon, wie schädlich diese Militärbasen für die Afrikaner sind, wenn diese inmitten Afrikas etabliert werden. – Es ist klar, dass unsere lokalen Eliten dafür nicht weniger verantwortlich sind, als ihre ausländischen Vorgesetzten.
– Der Film regt alle Beteiligten an, die bereits auf dem afrikanischen Kontinent etablierten Militärbasen noch einmal zu betrachten, ebenso wie die Position der NATO, die Verletzlichkeit und Bevormundung der Afrikanischen Union, und die Gegenwart eines hungrigen Rudels aufstrebender Nationen, die unter BRIC zusammengefasst werden können. – Als Erklärung bedient sich dieses Video einer Hypothese, die sich mit der Repatriierung des deutschen Goldes befasst, das seit langem in amerikanischer, französischer und englischer Hand ist; die mittlerweile dominierende Rolle Chinas im internationalen Währungssystem, sowie die Gründe, warum diese Militärbasis ausgerechnet in Deutschland etabliert wurde. Dann geht es zu den Ursachen der Krise in Mali über. –
Dieser Film entschleiert die AFRICOM Basis in Deutschland vor den Augen der Welt. Wir zollen den heroischen Anstrengungen von Mitgliedern der Linken und einigen ihrer parlamentarischen Repräsentanten Aufmerksamkeit und erkennen ihre gerichtlichen Schritte gegen AFRICOM’s Drohnenattacken und gezielten Tötungen an. – Neben der Sicherheitsfrage zeigt dieses Video auch, dass die Krise des Kapitalismus und die vorherrschende Unterentwicklung Kulturalimus, Integrationalismus, Populismus und Terrorismus fruchtbaren Boden bieten, die als Werkzeuge sowohl für Spaltungen dienen können, als auch dazu, Unabhängigkeit zu verhindern. – AFRICOM und NATO benutzen beide den Vorwand, angeblich Afrika retten zu wollen.
– Dennoch ist dieser Film ein Appell an größere Selbstbestimmung und Balance in Afrikas Entwicklung. Er fordert die Wiederentstehung progressiver Flügel Afrikanischer Staaten und eines Planes für die Beschleunigung panafrikanischer Integration im Kontext von Internationalismus und einer polyzentrischen Welt, die das allgemeine „Gute » für die Menschheit unterstützt
Samir Amin L’Internationaliste organique
Z. Fall, 59 mn. (V.o. anglais –Français3english -french)
‘’A notre époque, compte tenu de la puissance de destruction à la disposition des pouvoirs (destructions écologiques et militaires) le risque, dénoncé par Marx en son temps, que les combats détruisent tous les camps qui s’y affrontent, est réel. La seconde voie par contre exige l’intervention lucide et organisée du front internationaliste des travailleurs et des peuples’’.
Partant de ce constat, figurant dans une cinquantaine de livres de Samir Amin, le film met enscène les luttes, audacieuses, entrevues, conférences et moments inédits du plus grand intellectuel engagé du sud.
Samir Amin y traite de l’économie politique du développement, du capitalisme et de l’impérialisme, de la résistance des travailleurs et des peuples. Le film est aussi articulé sur les témoignages de, Isabelle Eynard Amin, Francois Houtart, Isabelle del Almeida, Ibrahima Thioub, Isham el Makhood, Fatou Sow, Cherif Salif Sy, Bernard Founou,Eric Koebe, Floriant Rochat, Lau Kin Chi, Rémy Herrera, Yash Tandon, Taoufik ben Abdallah, Ebrima Sall, Gustave Massiah, Aziz Salmone Fall. Samir Amin est aussi en compagnie entre autres de Mamdouh Habashi, Issa Shivji, Firoze Manji, Krishna Murty Padmanabhan, Sandeep Chachra, Luciana Castellina, Tina Ebro, Pedro Paez, Shahida El Baz, Helmi Shaarawi, Tawhida Shaarawi, Mohamed Nour El Din, Salwa El Antari, Aziz S. Fall, Saad El Taweel, Mary El Taweel, Gabriele Habashi.
Le film hommage -bilingue anglais français- est agrémenté de quelques images du film Les dépossédés de Mathieu Roy et de plusieurs autres séquences de par le monde illustrant poétiquement les enjeux analysés.
Samir Amin The Organic Intellectual Z. Fall, 59 m., (o.v. English-French)
“In our era, when we consider the destructive (ecological and military) might at the disposal of the powers-that-be, the risk, denounced by Marx in his time, that war will end up destroying all the opposing camps, is real. On the other hand, there is a second path that demands the lucid and organized intervention of the internationalist front of workers and peoples.”
Taking as its point of departure this observation, itself a feature of 50 books by Samir Amin, the film depicts the audacious struggles of, as well as interviews with, addresses by and special moments involving this most outstanding intellectual of the South.
In the film Samir Amin discusses the political economy of development, capitalism and imperialism, as well as the resistance of workers and peoples. In addition, the film is structured around the testimonies of:
Isabelle Eynard Amin, Francois Houtart, Isabelle del Almeida, Ibrahima Thioub, Isham el Makhood, Fatou Sow, Cherif Salif Sy, Bernard Founou,Eric Koebe, Floriant Rochat, Lau Kin Chi, Rémy Herrera, Yash Tandon, Taoufik ben Abdallah, Ebrima Sall, Gustave Massiah and Aziz Salmone Fall. Samir Amin is, moreover, shown in the company of Mamdouh Habashi, Issa Shivji, Firoze Manji, Krishna Murty Padmanabhan, Sandeep Chachra, Luciana Castellina, Tina Ebro,
Pedro Paez, Shahida El Baz, Helmi Shaarawi, Tawhida Shaarawi, Mohamed Nour El Din, Salwa El Antari, Aziz S. Fall, Saad El Taweel, Mary El Taweel and Gabriele Habashi.
This bilingual (English- French) cinematic homage is enhanced by some images from the film The Dispossessed by Mathieu Roy, and also by several other sequences from throughout the world illustrating poetically.
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Centenaire Sonja Lasalle Hugonnier de Ginet expose pour la première fois son oeuvre intégrale, parle de sa vie d’artiste, de ses influences. Elle s’engage dans la résistance volontairement pour défendre le monde libre contre les nazi, une force tranquille et grande artiste
Cette vidéo a été présentée lors d’un des événements montréalais du Projet Sur les traces de Bethune, afin de décrire le périple des brigadistes canadiens en Espagne et faire connaitre la solidarité de nos camarades espagnols. La video traite de la tournée de reconnaissance espagnole de 2013 de la délégation du CIRFA (Centre Internationaliste Ryerson Fondation Aubin) sur les traces des Macpaps et de Norman Bethune. Bethune Internationalisme en Espagne est l’occasion de faire revivre l’histoire à partir des lieux des mémoire et de rendre hommage au courage des internationalistes Canadiens Espagnols et Catalans d’hier et d’aujourd’hui..Elle donne la parole à différents acteurs et actrices internationalistes au fur et à mesure des villes visitées, le tout agrémenté d’images d’archives. Anglais, Espagnol et Français se mêlent, donnant un vague aperçu des difficultés linguistiques auxquelles étaient confrontées les internationalistes durant la lutte.